LE SEL DE LA VIE
Auteur : Françoise HÉRITIER
Mise en scène : Marie POTONET
Interprète : Florence PAYROS
D’après l’œuvre de : Françoise HÉRITIER
Production : Cie P9M
Genre : Fantaisie pétillante
Durée : 50 minutes
Les 24 et 25 juillet 2024
Théâtre de l’Atelier Bleu
La Bruyère 89130 Fontaines
Réservation : 03 86 74 34 20
Résumé
LE SEL DE LA VIE est un poème en prose, une fantaisie, l’énumération de toutes les petites choses quotidiennes, fulgurantes, qui traversent nos existences. Sous une forme légère et poétique il nous ramène à l’essentiel, il est une invitation « très sérieuse » à savourer chaque instant.
Les mots de Françoise Héritier résonnent parce qu’ils nous invitent à nous arrêter sur ces petits riens, grâces et saveurs du simple fait d’exister.
« Prendre un café au soleil », « suivre le vol d’une seule hirondelle au milieu des autres » ou bien « haïr le ton cassant » et « l’absence de considération pour les autres », font partie de ce florilège pétillant relevant d’une certaine éthique, une résistance à l’indifférence.
Atteinte d’une maladie auto immune, Françoise Héritier a ressenti dans sa chair la valeur d’être simplement en vie, elle nous la transmet dans ce texte, d’une grande légèreté apparente, d’une grande gravité finalement.
« II y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d’exister, au-delà des occupations, au-delà des sentiments forts, au-delà des engagements […] ce petit plus qui nous est donné à tous : le sel de la vie. »
Françoise Héritier, LE SEL DE LA VIE, 2012
Teaser
Le Grand Paris vu de ma Mini
En direct le jeudi 26 janvier à 13h30
et en podcast sur Mon Paris Fm et Les Muses de Paris : la Radio
« Il y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d’exister »
Françoise Héritier
Le Sel de la Vie,
une « Fantaisie poétique » brillamment menée en solo par la comédienne et danseuse Florence Payros, mise en scène signée Marie Potonet.
Une performance nomade, que Florence interprète dans des galeries, des cafés, des jardins publics ou privés et, même chez des particuliers.
Un hommage aux petites choses qui nous échappent parfois, pris dans le tourbillon de nos vies…
Merci à toi Florence pour faire vivre si intensément ce magnifique texte de Françoise Héritier, un moment suspendu pendant lequel on se laisse porter par ce recueil d’images et d’émotions qui font le Goût de nos Vies.
Au Soleil de la Butte
Note d’intention
La compagnie Pour 9 Muses et Françoise Héritier
Notre compagnie s’intéresse aux femmes explorant simultanément des univers hétéroclites.
Françoise Héritier, se révélant poétesse à la fin de sa vie, a été avant tout une grande anthropologue, une voyageuse, une chercheuse, une femme creusant la condition féminine, de l’Afrique à l’Occident, défendant un féminisme pas nécessairement revendicatif mais éclairé par une réflexion innovante. Féministe, féminine, engagée, poétesse au franc-parler, Françoise Héritier donne à notre compagnie un terreau fertile pour explorer une façon d’être au monde.
Le texte
LE SEL DE LA VIE est un poème en prose, une fantaisie, l’énumération de toutes les petites choses quotidiennes, fulgurantes, qui traversent nos existences. Sous une forme légère et poétique il nous ramène à l’essentiel, il est une invitation « très sérieuse » à savourer chaque instant.
Les mots de Françoise Héritier résonnent parce qu’ils nous invitent à nous arrêter sur ces petits riens, grâces et saveurs du simple fait d’exister.
« Prendre un café au soleil », « suivre le vol d’une seule hirondelle au milieu des autres » ou bien « haïr le ton cassant » et « l’absence de considération pour les autres », font partie de ce florilège pétillant relevant d’une certaine éthique, une résistance à l’indifférence.
Atteinte d’une maladie auto immune, Françoise Héritier a ressenti dans sa chair la valeur d’être simplement en vie, elle nous la transmet dans ce texte, d’une grande légèreté apparente, d’une grande gravité finalement.
La metteure en scène et LE SEL DE LA VIE
– Qu’est-ce qui vous a plu dans ce projet ?
« C’est Florence qui m’a parlé de son envie de jouer ce texte. J’avais envie de travailler avec elle car c’est une comédienne que j’apprécie. Elle est singulière et engagée, un peu comme Françoise Héritier finalement mais d’une manière différente. J’avais envie de la regarder jouer ces mots d’une autre femme. Le texte de Françoise Héritier la touchait énormément et c’est sans doute cela que j’avais envie de montrer, la façon dont une parole vous touche et se transmet.
Cela m’intéressait aussi de mettre en scène un texte qui n’était pas écrit pour le théâtre au départ. C’est toujours un défi. Cela oblige à s’interroger sur ce qu’est le théâtre. Très vite, pour ce spectacle, l’idée du partage s’est imposée. Partage des mots, des gestes, partage d’un plat… Cela répondait à la façon dont Françoise Héritier observe le monde, les autres et fait de sensations intimes quelque chose d’universel. »
– Pourquoi mettre en scène aujourd’hui ces mots de Françoise Héritier ?
« J’avais lu de Françoise Héritier Masculin/féminin, la pensée de la différence mais pas LE SEL DE LA VIE. Cela m’intéressait d’aborder une autre facette d’une grande penseuse, quelque chose de plus simple d’accès. J’étais aussi intéressée par le fait que ce soit le texte d’une femme qui savait que la vie allait bientôt la quitter et qui, plutôt que d’aller du côté de la tristesse, allait vers la joie. C’est comme une cérémonie, un remerciement pour le don de la vie mais sans lustre ni boursouflure. Je trouve cette simplicité belle et nécessaire. Nous avons répété le spectacle juste après le premier confinement et les mots de Françoise Héritier ont alors pris une force étonnante. Sa façon de célébrer tout ce qui nous avait manqué, tous ces « petits riens » qui font le sel de la vie, la beauté d’un regard, le vent dans les arbres… Dire la force des choses simples, affirmer le besoin de la vie tout simplement sans le poids des obligations, cela prend un sens plus fort encore aujourd’hui peut-être qu’à l’époque où Françoise Héritier les a écrits. »
Articles
Scoopé par Le spectateur de Belleville sur Revue de presse théâtre
Posté le 30 mars 2022
LE SEL DE LA VIE, d’après l’œuvre de Françoise Héritier, mise en scène de Marie Potonet
L’anthropologue, François Héritier (1933-2017) est connue pour son immense et précieux travail scientifique. Or, grâce la metteuse en scène, Marie Potonet et à l’actrice Florence Payros, ce spectacle nous invite dans un tout autre univers : « C’est une fantaisie, née au fil de la plume, de l’inspiration », premiers mots de ce récit. Une histoire singulière inspirée par : « Quelqu’un que j’aime beaucoup, le professeur Jean-Charles Piette (…) Une carte postale d’Écosse (…) Une semaine « volée » de vacances (…) ». Un véritable pas de côté dans le parcours intellectuel et littéraire de Françoise Héritier.
A partir de choses simples ou plus surprenantes – les multiples facettes de l’existence – l’auteure ouvre la porte à l’imaginaire et à l’émerveillement. Ce spectacle hors du commun peut avoir lieu à l’intérieur ou à l’extérieur, nous sommes conviés à l’écoute et à la contemplation d’un véritable tableau vivant. Poétique, en rythme et sons, la sobre mise en scène et l’interprétation sensuelle et délicate, de Florence Payros, nous saisissent d’étonnement, de joie et d’une douce tristesse. Le tragique n’est pas loin, c’est seulement ainsi que la beauté de l’existence et sa magie peuvent être au rendez-vous.
Remarquable énumération de ces instants saisis à la volée qui touchent notre cœur et notre conscience. Subtilité et densité de l’écriture, si vivante, impertinente parfois, rêveuse ou tranchante : « Être imperméable à la perfidie de certains propos», «Suivre le vol d’une seule hirondelle au milieu des autres», «Donner solennellement du Monsieur à un adolescent», «S’attrister parce que les galets perdent leurs belles couleurs en séchant »…sans oublier la réalisation d’une tarte aux pommes: un délice offert au public, à la fin de la représentation. Ici, la parole littéraire du poème laisse jaillir une théâtralité inattendue. Une invitation à une pure danse des mots… Florence Payros, avec sa voix, ses gestes sensibles, la grâce de son corps, donne vie à l’écriture de Françoise Héritier sans aucun pathos, avec intelligence et émotion.
Le public, dans un silence absolu, reçoit dans toute sa plénitude cet hymne à la vie. Aucune naïveté ni mièvrerie au cœur de cette suite d’images et de sensations. La beauté et la sensualité de ces moments furtifs, à la fois taquins ou émouvants, dans une langue simple et juste, laissent advenir à travers le jeu plein d’esprit de l’actrice, entre fragilité et force : « Ce petit plus qui nous est donné à tous : le sel de la vie ». Et qui, nous échappe souvent dans notre société consumériste et notre course effrénée. C’est aussi, en effet, une réflexion sur le temps ou comment ne pas le laisser s’échapper, en se projetant sans cesse dans l’avenir ou/et les illusions. Soudain, au fil des phrases, les pensées des Essais de Montaigne (XVIème siècle) notamment celles dans le Livre III, chapitre 13, nous font signe. Comme un rappel salutaire : la richesse du temps dans toute sa profondeur va de pair avec toutes les expériences de la vie. Ici et maintenant ! Nous sommes là, un siècle plus tard, loin de celles d’un autre grand penseur, Pascal (XVIIème siècle), pour qui le bonheur ne pouvait pas exister en ce bas monde mais, seul, dans l’au-delà.
Ce spectacle jouissif, sensible, et la mise en scène de Marie Potonet offrent au texte, la possibilité de compléter, cette « fantaisie ». Ils laissent découvrir aux spectateurs tout autant une démarche intellectuelle qu’un mode de vie. Belle ouverture et révérence à la l’existence…
En ces temps d’inquiétude, Merci à Françoise l’Héritier et aux artistes de la compagnie pour 9 muses !
Élisabeth Naud
Docteur en Sciences Esthétique et Technologie des arts
Enseignante en Théâtre – Université Paris 8
Conseillère artistique – Critique
LE SEL DE LA VIE, de Françoise Héritier. Seule-en-scène de Florence Payros
LE SEL DE LA VIE par Anne Revanne
Françoise Héritier (1933-2017), célèbre anthropologue et ethnologue française choisie par Claude Lévy-Strauss pour lui succéder au Collège de France nous a régalés de ses livres éblouissants et de sa pensée novatrice et lumineuse.
Elle a, pour la première fois, expliqué la prédominance du masculin sur le féminin et ceci dans toutes les cultures humaines.
En 2012, elle publie « LE SEL DE LA VIE », vrai bijou littéraire, en rupture totale avec ses précédents ouvrages, un poème en prose, profond et léger, une philosophie du quotidien, longue énumération de tous ces modestes et grands plaisirs, ces émotions et sensations qui font « Le sel de la vie ».
C’est à cette découverte que la talentueuse comédienne Florence Payros nous convie avec un immense bonheur partagé par un public enthousiaste.
Plus qu’une lecture, Florence incarne cette femme exceptionnelle avec joie, enthousiasme et conviction.
Son jeu est créatif et plein d’idées originales : tout en égrenant de sa jolie voix ces mille petits riens si denses qui rendent la vie pétillante, elle épluche des pommes et confectionne une tarte que l’on partagera et dégustera… en fin de spectacle ! La magie culinaire ajoutée à celle des mots…
Florence Payros est habitée par son personnage et lui donne une dimension si authentique et si étincelante qu’on reste ébloui par tant de charme et de grâce devant deux femmes, un auteur et son interprète réellement envoûtantes ! Une heure d’un merveilleux moment à venir découvrir en famille…
Anne Revanne
BIOS
Françoise Héritier
Françoise Héritier est une anthropologue, ethnologue et féministe française.
Elle arrive à Paris en 1946 et débute ses études au lycée Racine, les poursuit en classe préparatoire au lycée Fénelon puis à la Sorbonne. Au lieu de passer l’agrégation, elle choisit de suivre le séminaire de Claude Lévi-Strauss à l’École pratique des hautes études et décide d’orienter sa vie vers l’anthropologie sociale.
En 1957, Claude Lévi-Strauss soutient sa candidature pour une mission d’étude en Haute-Volta (aujourd’hui le Burkina-Faso) d’un an, elle va enchaîner en 1958 avec neuf missions en Afrique occidentale, c’est ainsi qu’elle fait ses premières armes totalisant près de cinq années de travail de terrain auprès des populations Samo, Pana et Mossi et de façon plus ponctuelle, Bobo et Dogon (Burkina-Faso et Mali).
Directrice d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), elle succède en 1982 à Claude Lévi-Strauss au Collège de France (elle inaugure la chaire d’Étude comparée des sociétés africaines) et à la direction du Laboratoire d’anthropologie sociale où elle enseignera jusqu’en 1998. Elle a été la deuxième femme à être admise et à enseigner au Collège de France après Jacqueline de Romilly.
Spécialiste des questions touchant à la parenté, au mariage, à la famille, aux liens entre sexe et genre, son champ de recherche s’est particulièrement porté sur l’étude des fondements universels de la domination masculine. Ses travaux sur la parenté ont nourri la réflexion sur l’accouchement sous X, l’adoption, la procréation médicalement assistée.
Engagée dans la lutte contre la discrimination, elle a pris part, ces trente dernières années, aux réflexions institutionnelles sur les grands débats de société, à la tête du Conseil national du Sida dont elle est a été la présidente de 1984 à 1995, et au comité consultatif d’éthique notamment.
En dehors de ses nombreux travaux et publications d’ethnologie puis d’anthropologie, elle écrit « LE SEL DE LA VIE » (2012), « Le Goût des mots » (2013) et enfin « Au gré des jours » (2017), tous édités aux Éditions Odile Jacob.
Françoise Héritier disparaît le 15 novembre 2017, à l’âge de 84 ans, le jour de son anniversaire.
Marie Potonet
Marie Potonet commence son parcours au théâtre comme assistante à la mise en scène auprès de Michel Cerda et de Louis-do de Lencquesaing. Elle devient ensuite collaboratrice artistique et dramaturge de Jacques Osinski dont elle accompagne les créations depuis 2002. De 2008 à 2013, elle est dramaturge et conseillère artistique au Centre dramatique national des Alpes à Grenoble. Elle y organise notamment plusieurs journées d’études. Elle dirige des lectures de textes contemporains (en particulier au Théâtre du Rond-Point), publie des articles universitaires (Revue d’histoire du Théâtre) et rédige des textes pour le Théâtre des Champs-Élysées, l’Opéra-Comique, la MC2 Grenoble.
Parallèlement, Marie Potonet collabore avec Marc Minkowski et l’atelier des Musiciens du Louvre, Jean-Claude Gallotta ou le metteur en scène Moise Touré.
Elle met en scène et adapte, pour l’atelier des musiciens du Louvre, Voyage en Féerie d’après Les Fées de Richard Wagner (Théâtre du Châtelet/Tournée). Elle signe l’adaptation et la mise en scène de La Petite Sirène d’après Andersen ainsi que celle d’Amour et piano, précédé d’un guide pour bien se marier d’après Feydeau, spectacles joués dans des lieux tels la MC2 Grenoble, le Nouveau Théâtre de Montreuil, la Coursive de La Rochelle…
Au sortir du Centre dramatique national des Alpes, elle accompagne en tant que dramaturge les créations de L’Histoire du Soldat de Stravinsky (Osinski/Gallotta/Minkowski) à la MC2 Grenoble et à l’Opéra Comique, Bérénice de Racine (Théâtre de Suresnes, Théâtre de Caen), L’Avare de Molière (Théâtre de Suresnes, Théâtre de Caen, Domaine d’O…), Lenz de Georg Büchner (Théâtre Nanterre-Amandiers, CDN de Reims, NTGent, KVS Bruxelles, Staattheater Meiningen).
En 2017, elle bénéficie d’une résidence d’écriture pour le spectacle Looking for Laodamie, avec Claire Barrabès et Marion Bluteau à la Chartreuse-Centre national des écritures du spectacle de Villeneuve –lez-Avignon ainsi que d’une résidence à la Ménagerie de Verre. Le spectacle s’est ensuite joué au Festival Terres de Paroles et en tournée.
En 2018, elle est productrice déléguée pour France Culture (émission Une vie, une œuvre).
Dernièrement, elle a participé en tant que dramaturge aux côtés de Jacques Osinski aux créations de Into the Little Hill (George Benjamin/Martin Crimp) au Théâtre de l’Athénée et à l’Opéra de Lille ainsi que de La Dernière Bande de Samuel Beckett avec Denis Lavant (Festival d’Avignon, Théâtre des Halles, Athénée-Théâtre Louis Jouvet).
Florence Payros
Florence Payros est formée au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris dans les classes de Dominique Valadié, Philippe Adrien, Andjei Seweryn et Catherine Anne… Lire la suite
Parcours
- 24 et 25 juillet 2024 – Théâtre de l’Atelier Bleu, La Bruyère, 89130 Fontaines
- 19 novembre 2023 – Villa privée, Paris 14ème
- 02 novembre – Appartement privé, Paris 14ème
- 13 septembre 2023 – Jardin partagé Le 56, 56 rue Saint-Blaise, Paris 20ème
- 09 septembre 2023 – Chez Tonia Sermonne, 5 place des Tilleuls – 02810 Brumetz
- 04 juin 2023 – Action Tiers Monde et des artistes, 3 rue Pierre l’Ermite, Paris 18ème
- 14 mai 2023 – Le 16 Bar, 16 rue Pastourelle, Paris 3ème
- 11 avril 2023 – Le Connétable, 55 rue des Archives, Paris 3ème
- 08 février 2023 – À l’ADN, Paris 18ème
- 28 janvier 2023 – Appartement privé, Paris 8ème
- 06 décembre 2022 – Au Soleil de la Butte, Paris 18ème
- 03 décembre 2022 – Appartement privé, Paris
- 02 décembre 2022 – Soirée privée – Villa Nadia de Bajo – 93006 Bagnolet
- 06 octobre 2022 – Rare Gallery, 17 rue François Miron – Galerie Wilson Claude Balda, Paris 4ème
- 28 septembre 2022 – Le Connétable, 55 rue des Archives, Paris 3ème
- 15 septembre 2022 – Le Moulin à Café, 8 rue Sainte Léonie, Paris 14ème (à côté du jardin Françoise Héritier !)
- 21 juillet 2022 – Galerie Karine Meyer, Rencontres photographiques d’Arles, Arles
- 16 juin 2022 – Rare Gallery, 17 rue François Miron – Galerie Wilson Claude Balda, Paris 4ème
- 06 mai 2022 – Le Connétable, 55 rue des Archives, Paris 3ème
- 01 avril 2022 – La Trockette, 125 rue du Chemin Vert, Paris 11ème
- 24 mars 2022 – Mairie du 18ème, Paris
- 19 mars 2022 – Galerie W, Paris
- 27 mars 2022 – Appartement privé, Paris
- 14 janvier 2022 – Association Les Femmes, Toulouse
- 31 Juillet 2021 – Festival on s’anime, Nîmes
- 20 juin 2021 – Villa privée, Épône-Mézières, Yvelines
- 19 juin 2021 – Parvis de la Bibliothèque Goutte d’Or, Paris 18ème
- 03 octobre 2020 – Appartement et terrasse privée, Ramonville Saint-Agne, Haute-Garonne
- 09 et 12 septembre 2020 – Jardins Françoise Héritier à Paris 14ème et Jardin de la Butte du Chapeau Rouge à Paris 19ème), dans le cadre de l’évènement « Un Été particulier », organisé par la Ville de Paris.
- 24 août 2020 – Villa Les Néréides, Cargèse, Corse
- 12 août 2020 – Villa Lou Amiradou, Parc de la Reine Astrid, Sainte-Maxime, Provence-Alpes-Côte d’Azur
- 03 juillet 2020 – Galerie W, Paris 3ème, dans le cadre du W-Art United Festival
- 17, 18, 19 juin 2020 et 07 juillet 2020 – Appartement et terrasse privée à Montmartre, Paris 18ème
Partenaires
- Festival Femmes ordinaires extraordinaires – Paris 20ème – Clotilde Moynot
- Centre culturel Algérien – 171 rue de la Croix-Nivert – Paris 15ème
- Théâtre de l’Atelier Bleu – La Bruyère, 89130 Fontaines
- Cie Aurore Boréale
- Ville de Paris Festival « Un Été particulier », 2020 – Paris 18ème et 19ème arrondissements
- Bibliothèque de la Goutte d’or – Paris 18ème
- Galerie W – Galerie d’Art contemporain – Paris 3ème
- Mairie du 18ème arrondissement – Ville de Paris
- La compagnie remercie le Label « Rue du conservatoire » qu’elle a reçu en février 2024
Contacts
Cie POUR 9 MUSES
N°SIRET : 51786714900018
Entrepreneur du spectacle : D-2020-005520
Droit d’auteur : Dossier SACD 706863
Crédit photos : Chris Morin-Eitner, Jacky Azoulai